Hé oui !!
Marvel a aussi publié une série de comics Indiana Jones (34 numéros) restés inédits en terres francophones.
Série qui a quand même vue défiler des noms tels que John Byrne, Terry Austin, David Mazzuchelli, Steve Ditko, Denny O Neil, Herb Trimpe, Jackson Guice, Archie Goodwin, Kerry Gammill et, dans le cas présent, la paire David Michelinie et Ricardo Villamonte.
L’histoire principale est assez inoffensive même si au vu des noms cités plus haut, je suis curieux de lire d’autres numéros:
Indy part en excursion en territoire indien avec ses étudiants et défait le vilain père mafieux d’une de ses élèves qui voulait utiliser le site archéologique comme base d’opération.
Mais ce qui nous intéresse c’est bien évidemment la manière dont la revue fut impactée par l’opération Assistant Editors Month et qui, comme dans les autres comics à la charge d’Elliot R. Brown, n’occupe finalement ici qu’une place minimale.
Ainsi, Brown se met une fois encore en scène dans la dernière page de ce numéro et qui se veut une parodie de la première scène des Aventuriers de l’Arche Perdue.
Le pauvre assistant editor, bien décidé à se faire bien voir par ses supérieurs, doit ici rendre avant la date limite les épreuves du comic book qu’il supervise à Virginia Romita, la femme et la mère de « vous-savez-qui » (au pluriel).
N’écoutant que son courage, qui n’est malheureusement pas bien grand, il se met à parcourir les dangereux couloirs de la Maison aux Idées et, touché par la grâce, réussit à éviter les différentes embuches qui se présentent à lui.
Malheureusement, le pauvre Brown doit traverser un dernier couloir en évitant les tartes à la crème de ses vilains camarades et, une fois de plus, ses efforts échoueront lamentablement.
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